Du mercredi 27 au vendredi 29 septembre 2023, j’ai eu le privilège de participer activement au Colloque International « Défendre la Nature : De 1923 à Aujourd’hui ». Cet événement majeur s’est déroulé à l’Auditorium de la Grande Galerie de l’Évolution au Muséum national d’Histoire naturelle de Paris. Deux soirées complémentaires ont également enrichi cette expérience, l’une à l’Académie du climat le 27 septembre, et l’autre à la Fondation François Sommer le 28 septembre. Ces rencontres ont constitué une opportunité inestimable pour réfléchir à la relation entre les sciences et la protection de la nature.
Au cours de cette table ronde, j’ai partagé ma perspective sur l’interconnexion profonde des éléments naturels et sur la nécessité d’adopter une approche holistique de la nature. Cela implique de dépasser les distinctions traditionnelles entre les différentes disciplines scientifiques et de reconnaître l’importance de les aborder de manière intégrée. Les sciences, qu’elles soient humaines, économiques, physiques ou sociales, sont des outils cruciaux dans la quête d’un diagnostic objectif et du suivi de l’état de la biodiversité.
J’ai souligné avec conviction l’importance de ces sciences dans l’élaboration de solutions concrètes et plurifactorielles. Comprendre la nature dans toute sa complexité nécessite une approche globale, mettant en lumière les liens entre les différents aspects de notre environnement. C’est seulement en comprenant ces interactions que nous pourrons véritablement élaborer des solutions efficaces et durables pour la préservation de la biodiversité.
Cette expérience a renforcé ma conviction que la coordination internationale est essentielle pour relever les défis environnementaux actuels. Les enjeux auxquels nous sommes confrontés dépassent les frontières nationales, et il est impératif que les scientifiques du monde entier unissent leurs forces pour trouver des solutions globales.
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