Ils étaient 10.000 délégués à Hawaï en 2016 au dernier Congrès mondial de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) en 2016. Des chefs d’Etat, responsables politiques, acteurs économiques, scientifiques, ONG… Cinq ans plus tard, ce qui constitue le plus grand forum mondial de prise de décisions en matière d’environnement pose ses valises à Marseille pour une nouvelle édition, du 3 au 11 septembre.
Et si la pandémie de Covid-19 fera nécessairement baisser le nombre de participants, ce nouveau Congrès mondial de la nature – le premier accueilli par la France depuis la création de l’IUCN à Fontainebleau en 1948 – s’annonce crucial, notamment parce qu’il précède de quelques semaines la COP15 15 biodiversité de Kunming, en Chine, à partir du 11 octobre, et même la COP26 sur les changements climatiques de Glasgow (Ecosse), à partir du 1er novembre. Pour 20 Minutes, Maud Lelièvre, à la tête du comité français de l’IUCN, en décrypte les enjeux.

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