A la différence des organismes onusiens sur le climat et la biodiversité, les ONG ont voix au chapitre dans les instances de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Ce mode de gouvernance a permis de faire avancer bien des causes auprès des Etats.
La liste rouge sur les espèces et les écosystèmes menacés , c’est elle. Le contrôle du commerce international des espèces sauvages, c’est encore elle. Tout comme la protection des mangroves, la liste verte des espaces protégés ou encore les notions de développement durable et de « solutions fondées sur la nature » . L’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), en un peu plus de 70 ans d’existence, a suscité l’émergence de bien des causes environnementales qu’elle a su, pour la plupart, faire entendre par les Etats.
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